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Perf, Cerveau & Dure Réalité

Ce que l'aveu "pas assez bon" révèle sur nous... et les astuces neuro pour enfin agir (là où ça compte).

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Benjamin AZIKA-EROS
mai 09, 2025
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👋 Hello l’équipe, c’est Benjamin !

Cette semaine j’ai décidé de changer le sujet initialement prévu à la suite d’une publication LinkedIn que j’ai trouvé super pertinente en termes de “Mindset Hacking”.

L’objet de la semaine est donc le suivant : Ton Cerveau Vs. la Vérité qui Pique

⤷ Pourquoi admettre "j'étais pas assez bon" est neuro-douloureux, mais essentiel pour l'excellence (et comment passer de l'autre côté du mur).


Je ne sais pas si t'as vu passer le post de Michel Strukov sur LinkedIn l'autre jour. Il a déterré une phrase de Tsonga et Monfils, légendes du tennis français, à qui on demandait pourquoi ils n’avaient jamais soulevé de Grand Chelem.

Leur réponse ? Directe, sans fioritures :

"On n’a pas été assez bon…"

Boum. Dans ta face. Pas d'excuses bidon sur le vent, la ligne de touche, ou un complot reptilien. Juste : "les autres ont été meilleurs".

Michel, il a mis le doigt dessus avec ses deux points clés :

  1. Parfois, c'est toi le problème (et c'est OK)

  2. Être le meilleur a un coût (faire ce que les autres ne feront pas)

Juste pour info, si tu veux voir le post de Michel qui a lancé le débat ou retrouver la source de cette phrase (un talk show passionnant avec Gaël Monfils et Jo-Wilfried Tsonga où ils parlent de carrière, d'entrepreneuriat et bien sûr, de tennis !), voici les liens :

  • Voir le post de Michel Strukov sur LinkedIn

  • Écouter le talk show complet avec Tsonga et Monfils

Là où la plupart des gens s'arrêtent au "manque de mental" ou au "c'est vrai, faut bosser plus", moi, ça me gratouille le neurone. Parce que cette phrase, cette humilité forcée par le réel, et le prix à payer pour l'exception... c'est du pur jus de cerveau. Et de neuromarketing.

Alors oui, on va parler de perf, de business, de sport, de vie... mais pas comme d'habitude. On va descendre dans la machine. Prêt ?

Level 🆙


Franchement, qui aime dire "je n'ai pas été assez bon" ? Personne. Ton cerveau déteste ça. Littéralement.

Pourquoi c'est si important (et si dur) ?

Parce que ton cerveau est câblé pour te protéger. Te dire que t'es pas assez bon, ça active l'amygdale, ce petit bidule dans ton crâne qui gère la peur et les émotions négatives. C'est une alerte ! Danger pour l'ego ! Danger pour ta survie sociale (oui, le cerveau primitif voit ça comme ça) !

Alors, il fait quoi, ce cerveau ? Il cherche des excuses. Le vent, l'autre, la poisse... tout sauf toi. C'est un mécanisme de défense tout bête pour éviter cette douleur de l'imperfection.

Mais le problème, c'est que tant que ton cerveau est occupé à trouver des coupables à l'extérieur, il ne peut pas analyser ce qui s'est passé à l'intérieur ou ce qui manquait vraiment. Il reste bloqué en mode "défense".

Pourquoi tu devrais t'en soucier (sérieusement) ?

Parce que cette incapacité naturelle à admettre "j'étais pas au niveau sur ce point précis", c'est le frein à main de ta progression.

En business, si ton offre ne marche pas et que tu dis "les clients comprennent rien", tu changeras rien. Si ton équipe est à la ramasse et que tu dis "ils sont nuls", tu ne changeras pas ton leadership ou tes process. Si ta perf stagne et que tu dis "j'ai pas de chance", tu ne bosseras pas différemment.

Les enjeux sont énormes :

  • Stagner vs. Progresser,

  • Blâmer vs. Analyser,

  • Subir vs. Agir.

Ce que tu dois savoir (du point de vue du crâne) :

  1. Ton cerveau préfère le confort à la vérité qui dérange. Admettre une faiblesse demande une énergie dingue à ton cortex préfrontal (la partie "pensée rationnelle") pour museler l'amygdale (la partie "aïe mon ego !").

  2. L'authenticité, ça vend (même à ton propre cerveau). Du côté neuromarketing, la transparence et l'humilité (comme celle de Tsonga/Monfils) créent de la confiance chez les autres. On se dit inconsciemment "ok, il est vrai, je peux lui faire confiance". C'est un signal social puissant qui active des zones liées à la connexion (potentiellement l'ocytocine, le booster du lien social). Et ça marche aussi pour toi-même : être honnête avec toi-même construit une confiance... solide.

Parlons confiance (la vraie)

La confiance, ce n'est pas une sorte de potion magique qui te fait croire que tu vas réussir même si tu n'as jamais fait le moindre effort. Ça, c'est de l'auto-persuasion un peu bancale.

La confiance, d'un point de vue neuro, c'est plutôt une prédiction basée sur des expériences passées, des compétences acquises, et ta capacité perçue à gérer une situation. C'est ton cerveau qui fait les comptes : "ok, j'ai déjà réussi des trucs similaires, ou j'ai les outils, ou j'ai la capacité d'apprendre... donc j'ai une chance raisonnable de m'en sortir". C'est le cortex préfrontal qui évalue ça.

Et cette confiance "réelle", basée sur le factuel et l'effort, elle est cruciale. Elle est le moteur qui te permet de te lancer, même quand l'amygdale hurle "DANGER ! T'es pas assez bon !".

Alors, question à méditer un instant, juste là, maintenant :

Où est-ce que tu sais, au fond de toi, que tu "n'as pas encore été assez bon" ? Et qu'est-ce que cette vérité coûte à ton ego... et à ta progression ?

Dès que tu auras trouvé ta réponse, partage-la en commentaire ↓

Laissez un commentaire.

En attendant ton retour, je te partage mon Haïku 俳句 de la semaine

L'ombre est en nous,
Regarder demande courage,
Le chemin s'ouvre

Ok, on a vu le "Pourquoi" c'est une galère d'admettre ses lacunes (merci cerveau !), le "Quoi" il faut savoir sur la confiance et l'authenticité. On a pigé que le vrai blocage, c'est souvent nous, et que l'excellence a un coût.

Mais alors, concrètement, comment on fait pour :

  • Accepter ce "pas assez bon" sans finir en PLS au fond du canapé ?

  • Muscler ce cerveau pour qu'il arrête de nous saboter ?

  • Payer le prix de l'excellence (faire ce que les autres ne font pas) sans y laisser notre santé mentale ?

  • Utiliser ces mécanismes neuro/neuromarketing pour booster notre propre perf et notre business ?

Ça, mes amis, c'est le passage à l'action. Le COMMENT. Et ça, ça se passe juste derrière, dans le supplément Pro de Gmind 🆙.

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